Notre première action est d’abord de se rencontrer, de se connaitre, puis se reconnaitre, c’est, selon nous, la base de la coopération.

Puis, il est essentiel de porter, ensemble, notre regard, sur nos rues, nos quartiers, et c’est ainsi que nous avons fait des diagnostics, sur chaque quartier.

Nous pensons aussi qu’il est essentiel de clarifier nos façons de faire, nos postures d’écoute, nos modes de décisions. Ainsi chacune et chacun sait à quoi s’en tenir, en transparence, et en convivialité.

A partir de ces éléments, nous avons pu rédiger notre programme à partir des réunions des groupes thématiques, des rencontres avec des spécialistes, usagers et acteur·trices engagé·es, et, avec les diagnostics en marchant sur le terrain.

Et après, nous nous sommes fixés les modalités de désignation des membres de la liste, des maires-adjointes, de la tête de liste.

« Pour le moment, ces espaces de co-construction et de co-décision entre habitant·es, élu·es et agent·es n’existent pas. Alors oui c’est compliqué, oui pour l’instant c’est imparfait. Mais jamais on ne bougera si on n’essaye pas de le faire. Et ça commence par avoir un espace avec le même niveau de responsabilité entre élu·es et habitant·es.  »
Une agente